GREENBURGH, État de New York – Lors d’un repas en plein après-midi d’été à Stockholm, en Suède, Mika Zibanejad et Mike Sullivan ont discuté de hockey, du futur et de leurs buts respectifs.
Plus tard cette journée-là, l’attaquant des Rangers de New York a amené son nouvel entraîneur, venu d’outre-mer spécialement pour le rencontrer, à un barbecue chez un ami.
« C’était bien de lui montrer un peu de la ville et lui parler dans un endroit calme, sans personne autour, a dit Zibanejad. On avait du temps devant nous, car il venait passer la journée avec moi. On a eu de bonnes conversations. C’est un bon départ. »
Cette visite de Sullivan à Stockholm pour rendre visite à Zibanejad peu de temps après son embauche à la barre des Rangers, le 2 mai, était calculée. Sullivan avait la ferme intention de se retrouver sur la même page que l’un de ses leaders en vue de la saison 2025-26. D’autant plus qu’en 2024-25, Zibanejad a connu sa pire campagne dans les sept dernières années sur le plan statistique.
« C’était très significatif de sa part, a affirmé l’attaquant. Je ne le connaissais pas avant. J’avais affronté ses équipes dans les 9 ou 10 dernières années, mais on ne se connaissait pas personnellement. J’ai beaucoup apprécié qu’il vienne en Suède pour passer une journée avec ma famille et moi. C’était un beau geste. »
Sullivan en a beaucoup appris lors de cette visite. Zibanejad lui a notamment confié qu’il avait développé une chimie avec J.T. Miller pendant les quelques matchs qu’ils avaient disputé ensemble en fin de saison dernière, et qu’il désirait voir s’ils pouvaient reprendre où ils avaient laissé au printemps.
Zibanejad et Miller ont joué un total de 259 minutes ensemble à 5-contre-5 en 32 matchs, une moyenne d’un peu plus de huit minutes par match. Miller a récolté 12 points (cinq buts, sept aides) et Zibanejad, 11 (quatre buts, sept aides) lorsqu’ils se trouvaient sur la glace ensemble. Sur le plan collectif, les Rangers ont surclassé leurs adversaires 14-12 en pareilles circonstances.




















